Neuraux

Sommaire

◼︎ Quelques brèves et actualités du Ruthénois

◼︎ RENCONTRE :

Guilhem BLANCHIN
Directeur de la banque de France de Rodez

◼︎ PORTRAIT :

Alain SARFATI
L’architecte du futur Parc des Expositions de Malan

◼︎ LE DOSSIER :

LES NEORURAUX

▸ Dominique COSTES
▸ Indispensables néoruraux
▸ Cécile BREAU
▸ Magali VERMEERSCH
▸ Audrey VALAYER

◼︎ LA RECETTE DU MOIS

POTIRON FAÇON CRUMBLE

◼︎ UN NOM… UN LIEU, UN MONUMENT…

FRANÇOIS FABIÉ, entre ville et campagne

◼︎ Nos coups de coeurs & bonnes adresses

Pas comme avant

« Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour des bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Pas comme avant »

Les plus de 40 ans se souviennent de cette jolie chanson écrite par Michel Berger après la disparition de Daniel Balavoine. C’est cela l’absence du deuil. Les choses se font toujours. La vie continue. Mais pas comme avant. Il manque quelqu’un autour de la table ; une main que l’on prend dans la rue. En ces premiers jours d’automne, la tradition nous rassemble en famille – ou ce qu’il en reste –  autour du souvenir des êtres chers. La nature entre dans l’hiver à petit pas; il est temps de reprendre les vers d’Horace : « Carpe diem quam minimum credula postero », « Cueille le jour présent sans te soucier du lendemain ». Demain il sera peut-être trop tard pour dire à ceux qu’on aime qu’on les aime. Ce « carpe diem » n’est pas triste, au contraire ; il incite à dire à ceux qu’on aime qu’on les aime afin de ne pas avoir de remords et la satisfaction peut même se prolonger jusqu’à dire à ceux qu’on déteste qu’on les déteste vraiment.
Profite, ami lecteur.

La rédaction


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