enseignement supérieur

Sommaire

◼︎ Quelques brèves et actualités du Ruthénois

◼︎ RENCONTRE :

Bruno BÉLIÈRES

Directeur de l’IUT de Rodez

◼︎ PORTRAIT :

Didier PANISSIÉ
L’aventure, c’est beau comme un camion

◼︎ LE DOSSIER :

ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR EN AVEYRON

▸ Faire ses études en Aveyron
▸ Rencontre avec le CIO
▸ La CCI formation et Agricampus La Roque
▸ Les principales filières en Aveyron

◼︎ LA RECETTE DU MOIS

CASSOULET CHT’I

◼︎ UN NOM… UN LIEU, UN MONUMENT…

AMANS JOSEPH FABRE

◼︎ Nos coups de coeurs & bonnes adresses

Ce que le jour doit à la nuit

En cette période hivernale, on aurait vite fait de rester sous la couette, dans les draps de Morphée. Ne plus écouter les discours creux au faux air de débat qui accompagnent les décisions liberticides en réponse aux maux de la société. Et les jours se suivent défilant avec leurs cortèges de manifestations. Si la grande majorité s’accorde à une réforme des retraites en correspondance avec l’évolution du travail, social et de la vie tout court, c’est encore sur la forme de la réforme que le bât blesse. Le gouvernement, à défaut d’avoir été clair sur la méthode comme son mode de financement, a ouvert la boîte de Pandore dans laquelle chaque corporation fait entendre, avec légitimité, leurs spécificités. Tout cela, au risque de diviser alors que nous sommes frères d’une même Terre. Les enjeux environnementaux et sanitaires, preuve en est du coronavirus, montrent que nous vivons sans barrière ni frontière.
Notre système est à bout de souffle. Et il est difficile de se projeter quand la science avance plus vite que le pas et la pensée de l’Homme. La prise en compte de la pénibilité comme de la dignité et le rallongement de la durée de vie rejoint les inquiétudes liées à l’avenir de l’humanité. Mais la vie est un combat qui doit nous rassembler, non nous désarmer. Cette nouvelle ère, ce nouveau millénaire, peut être un ami qui nous veut du bien si l’éthique, la bioéthique, le lien social sont mis au premier plan, servant de cadre à l’humain. Notre dossier du mois sur l’enseignement supérieur éclaire comme une boussole nécessaire vers demain et rassure comme il est réjouissant de s’instruire et de s’unir. Pour reprendre Albert Camus dont on célèbre les 60 ans de sa disparition : « Il n’y a pas de soleil sans ombre, et il faut connaître la nuit. »

La rédaction


Icon

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici