Sommaire
◼︎ Quelques brèves et actualités du Ruthénois
◼︎ RENCONTRE :
François FONLUPT
Evêque de Rodez
◼︎ PORTRAIT :
François PELOU
Ancien correspondant AFP
◼︎ LE DOSSIER :
A TABLE !!!
▸ Le Père Noël
▸ Les petits plats dans les grands… Régalez vos papilles avec notre jeu…
◼︎ LA RECETTE DU MOIS
PARMENTIER LEGER DE COURGE
◼︎ UN NOM… UN LIEU, UN MONUMENT…
LES CARTES DE VOEUX, de précieux témoignages
◼︎ Nos coups de coeurs & bonnes adresses
La mode ça se démode
Il y a 40 ans « on » a convaincu les Français que le diesel, emblême des taxis et des poids lourds, était l’avenir de l’auto sinon de l’Homme ; et en 2017, plus de 80% du parc était « diesel ». Depuis, « on » a retrouvé plein de qualités à cette essence si décriée. Mais comme le prétexte écologique au changement est faible – les véhicules à essence sont moins polluants mais moins économes – « on » est passé à l’argument-massue : le véhicule électrique. Voilà LA solution. Comme s’il naissait dans les choux sans autre intervention que l’eau de pluie. En réalité, la transition du thermique à l’électrique ne va pas supprimer les émissions polluantes mais modifier leur localisation vers les lieux de production de l’énergie. La mine de nickel qui détruit une partie de l’éco-système de la Nouvelle Calédonie en est un exemple. Il est donc urgent d’attendre. Les moteurs thermiques existeront tant que multinationales et pays producteurs de pétrole existeront. En attendant, ami lecteur, optimise tes déplacements, covoiture, utilise les transports en commun, retrouve le chemin des commerces de proximité, accompagne tes enfants à l’école à pied, marche, c’est la seule façon écologique d’économiser l’énergie et ta santé.
La rédaction