la vie en vert

Sommaire

◼︎ Quelques brèves et actualités du Ruthénois

◼︎ RENCONTRE :

Jean-Luc LAURES
Chef du Service Départemental de l’Agence Française pour la Biodiversité

◼︎ PORTRAIT :

Philippe FAURE
Les arbres remarquables de demain

◼︎ LE DOSSIER :

LA VIE EN VERT

▸ Cohabitation autour de la salade
▸ Au GAEC Biotenga
▸ Le jardin de Jammes
▸ Biodynamie : changeons nos habitudes dans le jardin

◼︎ LA RECETTE DU MOIS

RÔTI D’AGNEAU À L’AIL

◼︎ UN NOM… UN LIEU, UN MONUMENT…

BONNATERRE

◼︎ Nos coups de coeurs & bonnes adresses

5 milliards ? A vous de jouer Mesdames et Messieurs les élus !

Rodez bénéficie d’une partie de l’aide gouvernementale du plan Coeur de Ville. On ne peut que s’en réjouir. Mais si l’Etat met la main à la poche de façon aussi massive, c’est bien qu’il y a le feu aux centre-villes. Des décennies de politiques urbaines à courte vue ont provoqué la disparition des commerces de proximité concurrencés par les zones commerciales de périphérie, la paupérisation des centre-villes, la déshérence de l’habitat, causes parmi d’autres de l’insalubrité, de l’insécurité, voire du repli communautaire. N’oublions jamais que c’est la population locale qui fait vivre le commerce local, voilà pourquoi la rénovation en profondeur de l’immobilier et les déplacements intra-urbains devraient être les priorités du plan Coeur de Ville. Mais avant tout, il est urgent d’endiguer l’étalement des zones commerciales. Cette mesure de bon sens est d’ailleurs demandée par les élus de l’association « Centre-ville en mouvement » qui a plusieurs représentants en Occitanie et en Aveyron. Rodez, Millau et Villefranche-de Rouergue n’ont pas gagné le gros lot. Elles ont seulement remporté le premier outil d’un chantier énorme qui aboutira à condition que les élus changent leur vision de la ville.

La rédaction


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◼︎ RENCONTRE :

Jean-Luc LAURES
Chef du Service Départemental de l’Agence Française pour la Biodiversité

◼︎ PORTRAIT :

Philippe FAURE
Les arbres remarquables de demain

◼︎ LE DOSSIER :

LA VIE EN VERT

▸ Cohabitation autour de la salade
▸ Au GAEC Biotenga
▸ Le jardin de Jammes
▸ Biodynamie : changeons nos habitudes dans le jardin

◼︎ LA RECETTE DU MOIS

RÔTI D’AGNEAU À L’AIL

◼︎ UN NOM… UN LIEU, UN MONUMENT…

BONNATERRE

◼︎ Nos coups de coeurs & bonnes adresses

5 milliards ? A vous de jouer Mesdames et Messieurs les élus !

Rodez bénéficie d’une partie de l’aide gouvernementale du plan Coeur de Ville. On ne peut que s’en réjouir. Mais si l’Etat met la main à la poche de façon aussi massive, c’est bien qu’il y a le feu aux centre-villes. Des décennies de politiques urbaines à courte vue ont provoqué la disparition des commerces de proximité concurrencés par les zones commerciales de périphérie, la paupérisation des centre-villes, la déshérence de l’habitat, causes parmi d’autres de l’insalubrité, de l’insécurité, voire du repli communautaire. N’oublions jamais que c’est la population locale qui fait vivre le commerce local, voilà pourquoi la rénovation en profondeur de l’immobilier et les déplacements intra-urbains devraient être les priorités du plan Coeur de Ville. Mais avant tout, il est urgent d’endiguer l’étalement des zones commerciales. Cette mesure de bon sens est d’ailleurs demandée par les élus de l’association « Centre-ville en mouvement » qui a plusieurs représentants en Occitanie et en Aveyron. Rodez, Millau et Villefranche-de Rouergue n’ont pas gagné le gros lot. Elles ont seulement remporté le premier outil d’un chantier énorme qui aboutira à condition que les élus changent leur vision de la ville.

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